L’eau est un élément vital pour nos activités et est nécessaire à la fabrication de nos produits. En tant que leader de la fabrication durable, nous nous engageons à réduire notre consommation d’eau. Nous nous sommes fixé pour objectif, d’ici 2030, de réduire de 25 % notre consommation globale d’eau et de mettre en œuvre des plans de gestion adaptés dans toutes nos usines.

 

 

Gestion de l’eau

 


Nous nous procurons de l’eau à partir de trois sources principales : les eaux de surface, les eaux souterraines et les fournisseurs tiers (municipalités locales). Parce que nous dépendons de la disponibilité de l’eau dans toutes les régions, nous nous engageons dans des efforts de réduction de la consommation d’eau afin de soutenir des écosystèmes résilients.

Nous utilisons de l’eau tout au long du processus de fabrication du papier et restituons plus de 90 % de cette eau au bassin hydrographique local. Les 10 % restants s’évaporent lors du processus ou restent sous forme d’humidité dans notre pâte et notre papier. Pendant le processus de fabrication du papier, l’eau peut être réutilisée jusqu’à 10 fois avant de la traiter et de la rejeter. Pour atteindre nos objectifs de réduction pour 2030, nous continuerons à chercher des moyens d’améliorer l’efficacité, le recyclage et les processus de traitement de l’eau.

 

Partenariats en action


Nous travaillons avec le Fonds mondial pour la nature sur le projet Mogi Guacu Roots afin de promouvoir la restauration des sources et des zones riveraines prioritaires dans le bassin de la rivière Mogi Guaçu, dans la région de la forêt atlantique. La forte déforestation dans la région a contribué à une grave sécheresse, compromettant l’approvisionnement en eau potable ainsi que la disponibilité régulière pour les utilisateurs industriels, dont Sylvamo.

Le projet a débuté en 2018, avec des phases initiales consacrées à mobiliser les propriétaires fonciers et les producteurs ruraux afin qu’ils s’engagent dans le processus de restauration. Ces étapes comprenaient la définition d’une vision commune pour le bassin, l’identification et la cartographie des zones prioritaires, l’élaboration de plans de mise en œuvre, la collecte de semences indigènes et le renforcement des capacités pour la production de semis.

Nous nous sommes fixé pour objectif de restaurer 180 hectares de forêt indigène d’ici 2026. Ces efforts de restauration offrent plusieurs bénéfices environnementaux : ils stabilisent les sols des forêts riveraines, améliorent la qualité et la disponibilité de l’eau, et étendent les habitats essentiels à la biodiversité locale. En renforçant la résilience de l’eau dans le bassin du fleuve Mogi Guaçu, le projet Raizes contribue à améliorer les conditions écologiques, sociales et économiques de la région.